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How does Venice Work ?"



​Venice is not just a stage set. It is also a city with a resident population, which has productive activities, transportation and services. But how does the “Venice system” work? How do the tides in the lagoon behave? How are the canals formed? And the embankments? What’s under the buildings?





















Directed by Nicolò Scibilia (teodolinda.it). Motion graphics: pholpo. Produced by Insula spa, operational division of Venice Municipality.





En tête de gondole

Cette année, le thème de la biennale de Venise « Common ground » proposait un débat sur la place des citoyens ordinaires  dans l’architecture. David Chipperfield invitait ainsi ses pairs à opter pour une approche humble du métier d’architecte, loin de l’architecture spectacle des « stars-architectes » …
… Une attitude  pas tout à fait respectée, comme par exemple avec le studio de Zaha Hadid « montrant l'accomplissement d'une idée permise par la puissance des outils informatiques, degré de liberté définissant le contemporain. Pédagogique aussi la démonstration entre Venise et sa reproduction dans quelques villes du Monde. Ou bien la chapelle Sixtine et la cathédrale de Yamoussoukr »1 ou encore le I-city russe.





Pétition internationale contre les bateaux de croisière



Lancement le 11 octobre 2012, par de nombreuses personnalités du monde de la culture, d’une pétition demandant que l’accès des bateaux de croisière à la lagune de Venise soit restreint.

Ils dénoncent les risques environnementaux causés à la lagune et au patrimoine artistique de Venise.



Un jardin pour l'éternité à échelle humaine ?

 

En 2022 la ville Néerlandaise Almere accueillera une exposition d’horticulture appelée Floriade. Mvrdv propose un nouveau quartier vert proche du centre ville. Un carré de 45 hectares composé de jardins, université, bureaux, logements agira comme extension urbaine sur le lac. Suite à l’exposition, ce lieu sera ensuite une future ville passive. Cardin parlait de jardin pour l’éternité, Mvrdv s’en approche au plus près, un réalisation à echelle humaine, qui pourrait faire remettre en question certains mégalos.

 



Une nouvelle embarcation dans la lagune ?



Le « Hot Tug », Se balader sur la tamise avec son bateau submersibleCette embarcation peut accueillir 6 à 8​

personnes, et permet de se balader sur l’eau, et meme dans l’eau. Le remplissage de l’embarcation prennant une petite heure, les utilisateurs peuvent se balader dans un bain chaud flottant. Sans moteur ou avec, le prix va de 11 000 à 20 000 dollards, baignoire flottante de luxe.

 

Contre Venise passéiste (passatiste)

Date : 27 aprile 1910

Auteur : Filippo Tommaso Marinetti

​" Nous rejetons l’ancienne Venise, épuisée et défaite à cause des plaisirs profanes, que même nous avons aimé et possédé dans un grand rêve nostalgique. Nous rejetons la Venise des étrangers, marché des antiquaires faussaires, partisan du snobisme et de l’imbécillité universels, lit cassé par des caravanes d’amateurs, bijoux de gemmes pour les courtisanes cosmopolites, Cloaca Maxima du traditionalisme.

Nous voulons guérir et cicatriser cette ville puante, magnifique plaie du passé. Nous voulons faire revivre et ennoblir le peuple vénitien, déchue de son ancienne grandeur, morphinisé par une lâcheté misérable et dégradé par ses petits commerces ombragés.
Nous voulons préparer la naissance d’une Venise industrielle et militaire, qui pourrait ruiner la mer Adriatique, grand lac italien.
Hâtons-nous de combler les petits canaux puent avec les décombres des anciens bâtiments en proie à la ruine et à la lèpre. Brûlons les gondoles, berceaux pour des idiots, et élevons au ciel la géométrie imposante des ponts métalliques et des usines aux cheveux de fumée, afin d’abolir les courbes en chute de l’ancienne architecture.
Qu’il vienne, finalement, ce royaume de la divine Lumière électrique, débarrassant Venise de son clair de lune de chambre meublée. "

Publication : Manifesto futurista, Le 8 Juillet 1910, 800.000 tracts contenant le manifeste ci-dessous ont été lancés par des poètes et des peintres futuristes de la tour de l’horloge sur la foule qui revenait du Lido. C’est ainsi que commença la campagne que les futuristes ont poursuivi pendant 3 ans contre la Venise passéiste.

Dominique Dungas - Lepoint.fr

 

« Chinois qui vont et Chinois qui viennent : les touristes de l'empire du Milieu sont de plus en plus nombreux dans la Sérénissime. Leur nombre progresse de 40 % chaque année. "Venise est un rêve pour les Chinois, affirme Marco Ceresa. C'est la ville européenne qu'ils veulent voir en premier. Mais, quand ils arrivent, ils sont déçus. Pour eux, ce qui est beau doit être neuf. Ils trouvent Venise sale, abîmée, malodorante. Ils voudraient des néons, des magasins ouverts jusqu'à minuit, du fast-food américain." Pour se refaire le moral, les vacanciers chinois flambent. Ils fournissent 40 % du chiffre d'affaires des casinos vénitiens.
. "Venise a toujours su se réinventer, commente Isabella Scaramuzzi. Elle a successivement construit sa fortune sur les chantiers navals, le commerce, les putains. Refuser le tourisme, c'est nier le sens de l'Histoire."
Ce n'est pas une raison pour tirer l'offre touristique vers le bas en cédant au merchandising à la Disneyland. Car le kitsch menace encore ! Seule l'intervention de la surintendante aux biens culturels a empêché la construction de deux roues géantes de 135 mètres, l'une à la Giudecca, l'autre dans les jardins de la Biennale. La place Saint-Marc a failli se transformer en Piccadilly Circus avec l'installation d'écrans géants. Et le pont des Soupirs a disparu au milieu de centaines de mètres carrés de toiles vantant les mérites d'une marque de voitures japonaises. Les pouvoirs publics sont mis en cause : dans la capitale de l'art contemporain, le maire ne parle aucune langue étrangère.
Président du Comité français de sauvegarde de Venise, Jérôme-François Zieseniss a bien une idée. "Pour le tourisme pendulaire et ses dérives, on pourrait construire à 40 kilomètres une reconstitution de Venise. Avec tous les sponsors possibles." Provocation ? Pas si sûr »

Nous mènent-ils en
paquebot ?



Du 5 au 10 juin se réunissaient 250 responsables religieux de différentes confessions (scientifiques, experts, hommes politiques...) lors d’un colloque sur le thème "l'Adriatique une mer en danger : un objectif commun". Le colloque avait pour but : pollution des eaux, l’exploitation des ressources maritimes, la dégradation du littoral... Rappelons que les scientifiques durant ce colloque en paquebot de croisière ont fait escale en Grèce, au Monténégro, en Albanie, Croatie, Slovénie, pour se terminer dans les eaux de la lagune de Venise...



A VENDRE: Pont Rialto



Venise a besoin d’argent: c’est urgent.

La cité des Doges est donc à la recherche d’un sponsor qui pourra financer une campagne sur le pont du Rialto, l’un des plus célèbres de Venise, près de la gare routière qui déverse les touristes sur les pilotis. La marque qui pourra s’étendre sur le Rialto aura quelques contraintes: respecter le «decorum» de ce monument du XVIe siècle, et ne couvrir que 150 m2 au maximum. En échange, la marque élue restaurera ce pont, le plus vieux à surplomber le Grand Canal: une restauration qui coûte entre 5 et 7 millions d’euros , selon Venezia Today. Venise est une habituée des campagnes géantes sur ses trésors architecturaux, surtout depuis l’arrivée du maire actuel, Giorgio Orsini,qui a levé un certain nombre de limites imposées auparavant aux publicitaires (notamment de pas s’étaler sur les plus grands monuments mais seulement sur des façades secondaires). En 2010, Coca-Cola avait ainsi obtenu un affichage sur le pont des Soupirs et la place Saint-Marc. En Italie, selon Athos De Luca, un député du PD (parti démocrate, situé à gauche) qui a fait un rapport sur la question, non seulement les villes laissent les marques exploiter le patrimoine, mais elles le bradent. Elles accordent avec leur autorisation d’afficher des espaces publicitaires à des prix bien inférieurs à ce qu’elles devraient. Les marques profitent donc du besoin cruel de restauration en Italie.

La montée des eaux : problématique généralisée



Un des problèmes majeurs de Venise - contre lesquels se battent les autorités de la ville par de nombreux moyens fous et onéreux- n'est évidemment pas une problématique propre à la cité lacustre mais bien généralisée en divers endroits du monde. Focus sur cette problématique de la montée des eaux et les solutions mises en œuvres dans ces régions, qui bien que souvent médiatisée, est très peu souvent prise consciencieusement dans les mentalités comme un problème majeur aujourd'hui et pour les générations à venir.

Bangkok, New York, Le Bénin, les îles Karibati ou encore plus près de chez nous, les Pays-Bas font toutes face à cette montée des eaux et principalement du au faible niveau de ces régions par rapport au niveau de la mer. Pour chacune d'entre elles, l'eau gagne du terrain et  des solutions sont mises sur pied, mais quelles solutions et à quel prix ?

Dans la baie de New York, de nombreuses terres sont tout juste au dessus du niveau de l’eau, comme le quartier de Manhattan. Pour résoudre le problème de la montée des eaux et face à l'échec des technologies lourdes, un groupe d’urbanistes, architectes, ingénieurs et étudiants ont proposé un projet alternatif, mettant en valeur l’importance des terres inondables. Ils proposent différentes interventions le long des cotes de la lagune : construction de barènes, zones de parc inondables en bordure des cotes, installation de parcs à huîtres, délocalisation des ports, filtres qui absorbent les vagues… Par ces interventions ils imaginent recréer un archipel, en y intégrant des connexions maritimes permettant de tourner les villes vers l’eau, plutôt que construire contre. 

Si New York réussit à mettre au point des alternatives plus respectueuses de l'environnement ce n'est pas le cas de Bangkok. En effet, si les autorités ont mis en place des digues le long du fleuve avec un système de pompage des canaux de détournement des eaux et des bassins de rétention, ces mesures seraient insuffisantes pour faire face à la future montée des eaux. Dès lors, des solutions plus radicales  sont envisagées mais dont les effets pour l'écosystème seraient dévastateurs...
Quant à la Zélande, région la plus touchée des Pays-Bas par la montée des eaux, le pays entreprend de nouvelles démarches préventives : d’une part, le remblayage des fonds marins pour lutter contre l’érosion des plages et créer de nouveaux bancs de sable en mer pour freiner l’impact des vagues sur les côtes et, d'autre part, une « dépoldérisation ». Dans ce pays où la devise est de tenir face aux flots, une nouvelle politique engage à donner à l’eau de l’espace et à la laisser pénétrer dans les terres mais les moyens mis en œuvre laissent douter sur leur durabilité.

Si toutes ces régions montrent des atouts pour gérer cette problématique de gestion de l'eau grâce à la prise de conscience des autorités et des populations mais surtout grâce au budget et à la technologie, il n'en est pas de même pour tous. En effet,en ce qui concerne les îles Karibati, archipel du pacifique, les raisons économiques figent toutes tentatives de construction de digue et force à envisager une probable migration des populations vers d'autres terres d’accueil. Au Bénin, Le problème majeur de la lagune face à cette problématique de la montée des eaux reste sans doute la bonne gouvernance de la gestion des eaux entraînant des conflits d'utilisateurs pour la lagune. Une problématique face à laquelle des organisations tentent de sensibiliser les politiques.

Finalement, outre le problème de la montée des eaux, une autre problématique liée à la raréfaction de l'eau potable et sa privatisation touche directement les populations. Face à cette situation,  Riccardo Petrella, dans « le droit à l'eau », propose une coopération : une aide des pays riches possédant le savoir et les techniques vers les pays pauvres ou en voie de développement. Néanmoins,  si l'or bleu doit être un bien commun, les pays riches surconsomment au détriment des pays pauvres et ne renonceront pas à leurs habitudes. Certes si la question est politique, elle ne l'est pas seulement, il est aussi et surtout question de changer les mentalités..

Venise, un métro sous-marin - Projet de 250 millions d'euros

Date : 03-01-2003
Auteur : Saviero Correr



​A Venise, se dessine le projet d’un métro de huit kilometres sous-lagunaire moderne pour relier l’aéroport de Tessera à l’Arsenal en douze minutes, avec six arrêts.

Ce n’est pas un rêve futuriste, ni des «mots en l’air ».  Le projet présenté par un groupe d’entreprises et de banques mené par l’Actv, le département des transports de Venise, est le seul ayant rendu dans les délais sa proposition de financement de projet pour créer cette œuvre de 250 millions d’euros. Une œuvre fascinante, parrainée il y a dix ans par le ministre De Michelis dans une autre version, mais qui commence déjà à animer la controverse, comme toutes les grandes œuvres à Venise, du Mose au nouveau pont de Calatrava. (…)
Le sous-lagunaire, dit le maire Paolo Costa en paraphrasant un célèbre film, est «presque un dernier métro” pour relancer Venise économiquement et démographiquement, même si tout les conceillers n’y sont pas si favorable. L’adjoint au maire Gianfranco Bettin, par exemple, tout en appréciant l’idée de relier certains points clés de la ville, craint la “distorsion de la dimension insulaire de Venise» et «les effets négatifs sur l’habitat fragile de la lagune.” Préoccupations partagées par la plupart du monde écologiste, en particulier Italie Nostra, qui met en garde contre le risque d’endommager du caranto, une couche d’argile compacte sur laquelle s’élève Venise et sous laquelle coulent des eaux et des aquifères ? susceptibles aux marées.

Venise et les "Sublagunare '29" - Le rêve d'un tramway qui court à Rialto


Date : 27-11-2010
Auteur : S. D’A.


VENISE - l’idée de tramway lagunaire, n’est pas si nouvelle. Elle avait déjà été soulevée près quatre-vingts ans plus tôt, en plaine ère fasciste. À la page cinq du Corriere della Sera, le 27 Juin 1929, il comparait un article intitulé «Une ligne de tramway souterrain traversera la ville jusqu’à à Sainte-Hélène.” Le projet est signé par Cesco Tomaselli, vénitien, ainsi que reporter au journal Corriere del Veneto pendant plus de quarante ans. Cette année-là, on discutait concrètement de ce qu’il fallait poser à côté du pont ferroviaire construit par les Autrichiens (le Ponte Littorio, ensuite nommé Pont de la Liberté, ne sera inauguré que en 1933), par conséquent il y avait de la place pour des projets et des propositions, même fantaisistes. (…)
En plein ère fasciste, arrive le projet d’une ligne de chemin de fer qui traverserait la ville, pour rejoindre la gare à Sainte-Hélène. Il plaisait au Duce, mais le projet n’abouti jamais.
Publication : Corriere del Veneto

Amen



L’état du Vatican aura son pavillon à la 55eme édition de la biennale  l’architecture de Venise. Il exposera  une série d’œuvre, issue des onze premiers chapitres du Livre de la Genèse. Se pose alors la question d’un pavillon à la gloire de l’Etat ou à la gloire de l’Eglise ?

Metro à Venise

 

Venise apparait aujourd’hui comme une ville figée immuable. Pourtant au cours des derniers siècles elle a subit d’imposantes et continuelles modifications.
Engorgée par 23 millions de touristes par ans, retour aujourd’hui du débat sur la mise en place d’une ligne de métro à Venise. Entre traditionalisme et technologie extrême, n’y a-t-il pas un juste milieu ?

 

Bientôt des avions sur

la Tamise​ ?



L’aéroport London Heathrow surfréquenté cherche une sollution d'extension, le cabinet d'architectes Gensler propose un aeroport flottant au milieu de l'estuaire de la tamise. Projet ambitieu, estimé à 80 milliards de dollards. La collonisation de l'eau est dejà depuis bien longtemps en marche, seulement même si cela comporte certains avantages, les empreintes écologiques et financières ne sont-elles pas des réels freins à la création du projet ? Cette installation peut-elle etre percue comme un combat éternel entre l'homme et l'eau?

Octobre 2012





Venise… une histoire écrite sur l’eau. Venise… ville centre au centre de rien, n’existe que par et pour elle même. Venise… a ceci de particulier qu’elle est l’une des rares villes au monde à avoir été entièrement formée par la main de l’homme, y compris dans sa morphologie. De petites îles marécageuses perdues au centre d’une lagune de 550km², elle est devenue un immense réseau de 160 canaux, formés de 118 îlots tous reliés entre eux par un labyrinthe exubérant de ponts. Ses fondations reposent sur des centaines de milliers de pieux en chêne et aulne, foncés dans le sable lagunaire dès le VI siècle… « Venise est contre-nature » Chateaubriand Venise perd son autarcie avec la construction d’un pont la reliant à Mestre à la moitié du XIXème siècle. Désormais la Cité des Doges abandonne la maitrise des mers, les îles qui contribuaient à son autonomie se popérisant peu à peu jusqu’à l’abandon aujourd’hui. Venise échappe aux fonctions urbaines habituelles par sa forme même. Venise n’a pas de centre, elle est un centre. Elle n’a pas de faubourg, elle est circonscrite par les eaux. Venise est un point en suspension dans le temps et l’espace, et cette insularité nous ammène à penser à UTOPIA de Thomas More. Venise est bien un objet qui n’a d’autre
fin que lui-même, une fin sans fin comme disait le philosophe Emmanuel Kant. Venise nous apparaît telle une place forte sans fortification, ni muraille autre que l’eau et ses courbes, une ville d’eau structurée par l’air s’appuyant sur une appréhension fractale de l’espace et du temps. Venise, depuis Novembre 1966, connaît un état d’urgence. Elle subit de
fortes inondations, la ville s’est affaissée de plus de 20 centimètres, tandis que le niveau des eaux s’élève…. Des phénomènes d’érosion de la pierre des soubassements rendent vulnérables les édifices. Venise se heurte aux ‘nécessités’ industrielles et économiques de la région (port de Marghera) ainsi qu’aux rejets conduisant à l’eutrophisation du milieu. Venise et sa lagune sont inscrites en 1987 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Désormais cette inscription en fait l’un des hauts lieux du tourisme mondial. Aujourd’hui plus de 3,5 millions de visiteurs par an consomment Venise. A la veille de l’exposition universelle de Milan 2015, on doit s’interroger quant au devenir de la Sérénissime, repenser Venise et son rapport à l’eau.
Qui sera cet homovenitien de demain ?
Retrouvera-t-il son rapport à la mer ou poursuivra-t-il son rapport terrestre ? Aujourd’hui, nombreux sont ceux à s’interroger sur l’avenir+ de Venise. 

« Venise mérite d’être respectée, c’est une ville qui a 1000 ans d’histoire » déclare Alvise Benedetti, vice président d’Italia Nostra. Et de s’exprimer, à propos du projet de Piere Cardin « un quidam ne peut arriver comme ça et décider de faire quelque chose qui n’a aucun sens »

Coups de coeur !

Coups de gueule !

A débattre !

Edito

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